Ilnous plonge à travers un témoignage choc dans l’univers de la police. Il rapporte par des anecdotes surprenantes et haletantes ses interventions, mais aussi ses rencontres. Il apporte ses solutions pour enrayer la montée incessante de la délinquance. Un livre choc qui dérange, et qui montre, ô combien le travail de policier est difficile, mais passionnant. Bonjour, Comme vous avez choisi notre site Web pour trouver la réponse à cette étape du jeu, vous ne serez pas déçu. En effet, nous avons préparé les solutions de CodyCross Livrer son témoignage à la police. Ce jeu est développé par Fanatee Games, contient plein de niveaux. C’est la tant attendue version Française du jeu. On doit trouver des mots et les placer sur la grille des mots croisés, les mots sont à trouver à partir de leurs définitions. Le jeu contient plusieurs niveaux difficiles qui nécessitent une bonne connaissance générale des thèmes politique, littérature, mathématiques, sciences, histoire et diverses autres catégories de culture générale. Nous avons trouvé les réponses à ce niveau et les partageons avec vous afin que vous puissiez continuer votre progression dans le jeu sans difficulté. Si vous cherchez des réponses, alors vous êtes dans le bon sujet. Le jeu est divisé en plusieurs mondes, groupes de puzzles et des grilles, la solution est proposée dans l’ordre d’apparition des puzzles. Vous pouvez également consulter les niveaux restants en visitant le sujet suivant Solution Codycross DEPOSER Vous pouvez maintenant revenir au niveau en question et retrouver la suite des puzzles Solution Codycross Arts culinaires Groupe 122 Grille 5. Si vous avez une remarque alors n’hésitez pas à laisser un commentaire. Si vous souhaiter retrouver le groupe de grilles que vous êtes entrain de résoudre alors vous pouvez cliquer sur le sujet mentionné plus haut pour retrouver la liste complète des définitions à trouver. Merci Kassidi Amateur des jeux d'escape, d'énigmes et de quizz. J'ai créé ce site pour y mettre les solutions des jeux que j'ai essayés. This div height required for enabling the sticky sidebar
livrer son témoignage à la police
ConfessionsEtat islamique : un djihadiste français repenti livre son témoignage glaçant. Dès son retour de Syrie en mars 2015, l'homme s'est rendu dans un commissariat où il a raconté aux
Suite aux événements qui ont eu lieu vendredi soir à Trappes, le collectif contre l’islamophobie en France CCIF publie le témoignage de la jeune mère de famille, arrêtée ainsi que son époux, après un contrôle de police qui a mal tourné. Je fais appel à vous car j’ai subi une injustice de la part de la police. Ils ont voulu nous contrôler à cause de mon voile intégral. Comme d’habitude, j’ai coopéré. J’allais lever mon voile lorsque j’ai vu l’un des agents pousser violemment ma mère. J’ai dit aux autres agents de regarder ce qui se passait derrière, que ça n’allait pas se passer comme ça, qu’il ne fallait pas toucher à ma mère qui n’a rien a voir avec le contrôle, sachant que elle était devant nous. L’un des agents s’est alors énervé sur mon mari, juste parce qu’il a dit, à propos de ma maman Ne la touchez pas ! Pourquoi vous la touchez alors qu’elle n’a rien à voir avec le contrôle ? » Le policier a alors dit a mon mari, de manière très agressive et en bombant le torse Tu vas faire quoi ? ». Je me suis interposée entre eux pour ne pas que ça dégénère. Une fois que le policier en a fini avec ma mère, il vient vers moi et fait de grands gestes devant mon visage en me tenant un langage agressif. Apeurée, je lui ai demandé de se taire. Il m’a alors attrapée par le voile au niveau de la tête et traînée avec une force monstrueuse, avant de me plaquer sur le capot de la voiture en me criant C’est à moi que tu parles ? C’est à moi que tu parles, hein ? » Je me suis retournée, puis j’ai aperçu mon mari maintenu à terre par deux policiers qui le menottaient. Une fois dans la voiture, ils nous criaient dessus comme si on était des chiens. Ils menaçaient mon mari en disant Qu’est-ce que tu vas faire maintenant p’tite tafiole, hein ? , tout cela avec les poings serrés et en donnant des coups, dans la voiture. Une fois arrivés au commissariat, les agents m’insultent de fantôme. Je ne cesse pas de demander à Dieu de l’aide contre cette violence. Le CCIF, qui dénonce la violence » et les provocations policières », annonce que l’époux de la jeune femme doit être jugé en comparution immédiate demain matin ». Confirmant une information que nous avons pu recueillir quelques heures après les échauffourées, le CCIF précise que plusieurs habitants de Trappes, qui s’étaient rendues au commissariat pour tenter d’apaiser la situation ont été congédiées sans ménagement ». Et d’appeler la police nationale à remplir sa mission de protection de la population plutôt de l’agresser ». Appel à témoins Le CCIF lance un appel à témoins. Nous lançons également un appel à témoins Si vous avez assisté aux scènes de violences ou si vous avez des informations vidéos, témoignages, … qui permettront de mettre en lumière les responsabilités dans cette affaire, merci de nous écrire à [email protected] afin que les agresseurs ne restent pas impunis et que la victime ne se retrouve pas, comme c’est le cas dans plusieurs autres affaires où la responsabilité de la police est en cause, sur le banc des accusés. »
Livrerson témoignage à la police Solution Cette page vous aidera à trouver toutes les solution de CodyCross à tous les niveaux. À travers les astuces et les solutions que vous AccueilNewsFormation "low cost", "sur-suicide", violences et bavures... Dans "Flic", Valentin Gendrot raconte son enquête a 31 ans, il est journaliste avec une spécialité l’infiltration. Il y a trois ans, Valentin Gendrot a voulu pénétrer un monde qu’aucun journaliste n’avait pu intégrer jusqu’alors la police. L’idée ? “Pouvoir raconter de l’intérieur les deux grands tabous de la maison flic, à savoir les violences policières et le mal-être des policiers dans leurs conditions de travail”, sujets d’intérêt public en 2017, âgé de 29 ans, Valentin reprend les études, direction l’école de police pour devenir ADS adjoint de sécurité. Pendant trois mois, il va suivre une formation qu’il qualifie de “low cost” où, par exemple, le temps d’études consacré aux violences faites aux femmes “ne durera que trois heures”.Il obtient son diplôme, mais le but de son infiltration à savoir intégrer un commissariat populaire va être retardé, la faute à une affectation au sein du service psychiatrique de la préfecture de police de Paris. Il restera malgré lui 15 mois dans ce lieu où Albert Londres lui-même ne sera jamais parvenu à s’infiltrer. Et puis c’est la mutation, premier vœu exaucé, cap sur le commissariat du 19e arrondissement. Valentin va y rester 6 mois. Selon ses propos, il va faire face à ”une violence verbale et physique d’une minorité de policiers envers ceux qu’ils nomment les bâtards’. Ce sont des jeunes hommes noirs, arabes ou des migrants”.Son infiltration va franchir un cap supplémentaire lorsque Valentin raconte qu’il va se retrouver à “couvrir une bavure policière”. Torturé intérieurement entre “le bon flic qui protège les collègues” et “l’homme qui se demande dans quel guêpier il vient de se fourrer”, il a l’intime conviction que “couvrir cette bavure pourra lui permettre d’en dénoncer 1 000 autres”. De cette infiltration, de cette police “qui finira par s’infiltrer autant en lui que lui en elle”, il écrit un livre Flic paru aux éditions Goutte d’Or. Un livre où il essaye de comprendre plutôt que de juger les policiers qu’il côtoie tous les jours. Parce que “la police est le deuxième corps de métier où il y a le plus de suicides, il y a un profond mal-être chez les policiers. Cela devrait être une cause nationale, au lieu de ça, l’État propose d’organiser des barbecues entre collègues”.Valentin revient en vidéo sur ces 2 ans d’infiltration au cœur de la police. Ce témoignage est diffusé le jour de la sortie du livre. Nous étions tenus au secret pour préserver la confidentialité de l’enquête du journaliste, qui n’a jamais caché sa véritable identité, afin de ne pas nuire à la parution du livre. Nous avons donc filmé ce témoignage brut, sans commentaires. Suitede cette affaire dont la presse anglo-saxonne a commencé à parler (rien chez les francophones) KRABI: - LA POLICE prépare des portraits robots des hommes
Faits divers De nouveau sous le feu des projecteurs après l'agression de trois policiers, le quartier de la Guillotière n'est jamais mieux raconté que par ceux qui y habitent. Publié le 29 juillet 2022 à 9h48 Deux policiers en patrouille dans le quartier de la Guillotière, à Lyon. Photo © Bony/SIPA On a beaucoup parlé de l’agression de trois policiers à Lyon Rhône, le 20 juillet dernier. Un fait-divers très médiatisé… mais malheureusement banal dans le quartier de la Guillotière. A tel point, relate Le Figaro, que la scène s’est presque reproduite à l’identique quelques jours plus tard, forçant trois policiers à faire usage d’une grenade de lacrymogène pour se dégager. Moins de quinze minutes plus tard, une autre interpellation dégénère à quelques centaines de mètres de là menacée par plusieurs dizaines d’individus alors qu’elle tentait d’arrêter un voleur de carte bleue, une patrouille est obligée de tirer une grenade de LIRE Lyon un groupe antifasciste dénonce l’occupation coloniale » de la Guillotière par la police La violence a atteint son paroxysme », ne peut que constater Hervé Redon, secrétaire départemental du syndicat de police Alliance. Le policier, en poste dans le quartier depuis des dizaines d’années, évoque une situation qui s’est très largement détériorée. Dans les années 80, raconte-t-il, la délinquance était déjà un vrai sujet à la Guillotière. Mais lorsque la police intervenait, tout le monde ne se retournait pas contre nous », se souvient le vieux policier, qui prendra sa retraite dans trois ans. Il y avait un respect de l’institution. Aujourd’hui la police dérange. » D’électeurs de gauche à sous-marin du RN » Cette aggravation de la situation, Nathalie et Fred peuvent en attester. Le couple s’est installé dans le quartier à l’été 1992. Electeurs de gauche, ils se réjouissent de poser leurs valises dans un quartier populaire. C’était un joyeux bordel sic, un quartier mixte avec une vie locale riche », raconte Nathalie au Figaro. Depuis, tous deux ont cependant déchanté. Ce qui n’était qu’un léger désordre est devenu un enfer trafic de drogue, violence omniprésente, agressions, vols, insalubrité, etc. Leur fils, devenu sapeur-pompier, est un jour la cible d’une agression. Écœuré, il décide de quitter la LIRE La maire écologiste du 7e arrondissement de Lyon nie l’insécurité à la Guillotière En 2019, le couple décide de créer le collectif la Guillotière en colère » 400 familles y adhèrent, preuve de l’unanimité qui règne autour de la place Gabriel-Péri. Une décision prise dans la foulée de la finale de la Coupe d’Afrique des nations effarés, Fred et Nathalie assistent aux affrontements ultra-violents entre supporters sénégalais et algériens. C’est là qu’on a compris que quelque chose n’allait pas. Le mélange était en train de disparaître », expliquent-ils au Figaro. Hélas, même si de nombreux riverains les soutiennent, le couple de gauche est désormais souvent traité de sous-marin du RN » ou de polémiste facho ». De guerre lasse et face à l’inaction des pouvoirs publics, Fred et Nathalie mettent fin à leur collectif en juillet 2022. Quelques jours, à peine, avant l’agression des policiers…A LIRE [Vidéo] Lyon des policiers tabassés à coups de barres de fer par des racailles à la Guillotière, deux blessés La police très mobilisée Pourtant, souligne Le Figaro, on ne peut pas dire que la police ménage ses efforts. La police municipale et les CRS patrouillent tous les jours. En février dernier, une brigade sécurisée de terrain BST a même spécifiquement été créée pour la Guillotière forte de 31 hommes expérimentés, elle participe aux activités de maintien de l’ordre. Le bilan statistique n’en est que plus impressionnant en une journée, les forces de l’ordre procèdent à 120 contrôles et 25 interpellations – six pour trafic ou usage de stupéfiants, sept pour violences et une grosse dizaine pour présence illégale sur le territoire national. Que Dieu vous bénisse, comme ça le quartier sera tranquille ! », déclare même une habitante voilée aux policiers qu’elle croise dans la rue. Pour accéder aux espoirs de cette riveraine, la mobilisation de la police semble malheureusement insuffisante. Selon Le Figaro, la plupart des acteurs s’accordent à pointer du doigt les défaillances de la mairie écologiste – même s’il n’a pas fallu attendre 2020 pour s’inquiéter, loin s’en faut. Reste qu’avec Grégory Doucet à sa tête, la mairie semble déterminée à ne proposer que des solutions risibles », sinon parfaitement caricaturales des urinoirs répandant une odeur nauséabonde dans tout le quartier, des bacs de composts inutiles, un réseau de chuteurs » censé éviter le tapage nocturne mais parfaitement inefficace, des espaces piétons pour familles squattés par des fumeurs de joint, etc. Dernière innovation en date une maison des projets pensée pour mettre en avant les initiatives locales. En inaugurant le bâtiment, au début du mois de juillet, Grégory Doucet avait pris soin de dénoncer une mise en avant de la délinquance et de la criminalité plutôt que de ce qui fait le quotidien du quartier ». Le sens des priorités.
Lofficiant, le père Jacques Hamel, 86 ans, avait été égorgé par les deux assaillants avant que ceux-ci ne soient abattus par la police à l'issue de la prise d'otages. Près d'un an jour
Inès était présente à l'arrière de la voiture visée par les policiers samedi dans le 18e arrondissement de Paris. La jeune femme de 21 ans livre son témoignage à franceinfo. Si elle reconnaît que le conducteur était "en tort", Inès reste convaincue que les policiers n'ont "pas su garder la tête froide".Un témoignage exclusif dans l'affaire du refus d'obtempérer samedi 4 juin, dans le 18e arrondissement de Paris. Inès, la passagère arrière de la voiture visée par des tirs de policiers livre son récit, mercredi 8 juin, à franceinfo. "Je suis en colère parce que les policiers auraient pu faire autre chose", confie cette jeune femme de 21 ans, étudiante pour devenir esthéticienne. Son amie Rayana, passagère avant du véhicule, a été tuée d'au moins une balle dans la tête. Elle avait 21 ans. Le conducteur, âgé lui de 38 ans, a été grièvement blessé au thorax. Les deux jeunes femmes ne connaissaient pas le conducteur et son ami. Ils s'étaient rencontrés quelques instants auparavant lors d'une soirée dans le quartier Pigalle à Paris. >> Paris ce que l'on sait de la mort de la passagère d'une voiture, tuée par balle par des policiers dénonçant un refus d'obtempérer Si les trois policiers, entendus pendant 48 heures en garde à vue, sont ressortis libres, une information judiciaire a néanmoins été ouverte mardi à leur encontre. L'avocat des policiers, Laurent-Franck Liénard, affirme sur franceinfo que le témoignage d'Inès "n'est pas conforme aux éléments objectifs du dossier", notamment des vidéos "dans lesquelles on entent parfaitement les injonctions et les sommations", dit-il. Des témoignages recueillis par franceinfo avant celui d'Inès contredisent la version des forces de l'ordre, et assurent que le conducteur n'a pas "démarré en trombe". franceinfo Pouvez-vous nous raconter ce qui s'est passé samedi ? Inès J'étais avec mon amie Rayana, une copine très proche. On a décidé de sortir vers 6 heures du matin en "after" sur Pigalle. On était avec des amis qui sont rentrés un petit peu avant nous, donc on est restées avec leurs amis. On n'avait plus assez d'espèces pour rentrer. Ils ont proposé de nous raccompagner. On a mis l'adresse de Rayana en premier dans le GPS. Au niveau de Clignancourt, trois policiers à vélo ont toqué à la vitre du conducteur parce qu'il ne portait pas sa ceinture de sécurité. Il n'a pas voulu baisser sa vitre. Il a accéléré et s'est arrêté 30, 40 mètres plus loin à cause de la circulation. Il y avait notamment un bus devant nous. Quand on lui dit de s'arrêter, il nous répond qu'il n'a pas le permis. Il est un peu paniqué, un peu stressé et je vois deux policiers se mettre au niveau des vitres, devant. Tout est allé très vite. Je n'ai même pas entendu "Sortez de la voiture" ou "Mains en l'air". Ils ont cassé les vitres en tapant avec leurs armes. La scène était très violente. Le conducteur n'a même pas eu le temps d'enlever les mains du volant. "On a entendu des coups de feu, la voiture qui repart. Tout cela s'est passé en même temps. La voiture n'est pas d'abord partie et ensuite ils ont tiré, c'est en même temps." Ils ont dû tirer une dizaine de coups de feu, ça a duré longtemps. Que s'est-il passé ensuite ? Ensuite, le conducteur a avancé, brutalement cette fois, il a foncé dans une camionnette blanche, ce qui l'a arrêté. On lui a dit "Abandonne la voiture, laisse-nous, c'est entre toi et eux, nous, on est des victimes". On lui a dit "Il faut que vraiment tu nous laisses". Il est parti en courant. J'ai cru que ma copine Rayana, qui était sur le siège devant moi, était tombée dans les pommes. J'ai essayé de l'appeler plusieurs fois en criant son prénom à voix haute. Son corps était lâche. C'est là que j'ai vu son cou rempli de sang. Je n'ai même pas eu le temps de bien réaliser et de la prendre dans mes bras. La police est arrivée derrière nous. Ils nous ont braqués en disant "Mains en l'air, mains sur la tête", ce qu'ils auraient dû dire la première fois pour nous laisser une chance, peut-être, de sortir. Ils auraient pu essayer de nous protéger et d'arrêter le conducteur. "On était en état de choc, on criait. C'est là que j'ai réalisé que Rayana avait pris une balle. Les policiers n'étaient même pas vraiment coopératifs avec nous, sans nous demander si on allait bien." Ils nous ont fait sortir de la voiture. Ils nous ont menottés. Ils nous ont laissé sur un coin de la scène, plus de trois heures en plein soleil, devant la foule. On ne nous a pas laissés voir de médecin. Quels sentiments éprouvez-vous ? Je suis en colère parce que les policiers auraient pu faire autre chose. La personne est en tort, mais ils n'étaient pas obligés de tirer directement. En venir à tirer sur quelqu'un, surtout lui tirer dans la tête, c'est en dernier recours. Il y avait des bouchons, la circulation, le véhicule ne pouvait pas aller bien loin. Le conducteur est en tort, il est tout à fait en tort, mais quand il a fait sa course-poursuite, il n'a tué personne. Personne dans la rue n'a été blessé ou renversé. J'ai perdu une amie devant moi. C'est triste également pour sa famille, ses amis. Maintenant on va se battre pour la justice. De nombreux responsables politiques se sont emparés de ce dossier. Est-ce important pour vous ? Etait-ce nécessaire ? C'est bien que cette affaire prenne une tournure politique. Cette histoire-là, il faut qu'on en parle. Le plus important c'est qu'il y ait des gens de notre côté qui comprennent qu'on n'était pas obligé d'en arriver là. Ça montre qu'on est soutenus. Moi, je ne connaissais pas le conducteur, mais je pense que cela peut arriver à tout le monde d'avoir un coup de stress. "Si on mettait une balle dans la tête à tous les gens qui refusent d'obtempérer, je pense qu'on tuerait beaucoup de gens chaque année." Il était 10h30 en plein Paris. Il y avait d'autres gens dans la rue, des enfants notamment. Un enfant, une mère de famille, n'importe qui aurait pu prendre une balle perdue. Les policiers n'ont pas pensé à ça. Ils n'ont juste pas su garder la tête froide. Ils ont perdu le contrôle. Quand on porte un insigne, on est censé garder la tête froide au maximum. Que vous inspire le fait que les policiers soient ressortis libres de garde à vue ? Quand j'ai appris que les policiers ressortaient libres de leur garde à vue, j'étais assez nerveuse quand même. Maintenant, je peux comprendre que toute cette affaire se jouera plus tard. C'est une juge qui décidera. Pour l'instant, les policiers sont sortis, c'est comme ça. On ne peut pas faire autrement. Il y aura une enquête qui sera faite. On n'a pas le choix. On ne peut pas faire justice nous-mêmes. On ne peut pas aller dénigrer les gens, ça se réglera dans un tribunal. On est là pour Rayana et c'est pour elle qu'on se bat. C'était une bonne personne. Elle n'avait que 21 ans. Elle avait une famille. Elle était belle. C'était quelqu'un qui souriait tout le temps. C'est une victime dans l'histoire. Elle ne méritait pas tout ça. Avec la famille et les amis de Rayana la jeune fille tuée, Inès a créé un compte instagram baptisé justicepourrayana dans l'espoir de fédérer des soutiens à leur cause. DOCUMENT FRANCEINFO. Le témoignage d'Inès, passagère rescapée de la voiture visée par des tirs de policiers, au micro de Mathilde Lemaire écouter Ellea accepté de livrer son témoignage à La Dépêche. Voir plus de contenu de La Dépêche du Midi sur Facebook
Le procès de Benjamin Mendy s’est poursuivi ce mercredi avec une nouvelle journée d’audience au tribunal de Chester. Le témoignage d’une plaignante accusant le champion du monde d’un viol en juillet 2021 a été diffusé. Nouvelle journée de témoignage au tribunal de Chester, où le procès de Benjamin Mendy, accusé de huit viols, une tentative de viol et une agression sexuelle, s’est ouvert le 10 août dernier. Ce mercredi, le témoignage d’une victime présumée de viol, enregistré par la police en février 2022, a été diffusé. >> Le procès de Benjamin Mendy EN DIRECT Les faits décrits par la plaignante remontent au 23 juillet 2021. Elle dit avoir été invitée au domicile du joueur et avoir accepté de s’y rendre, précisant que Louis Saha Matturie, co-accusé dans cette affaire, lui a payé le taxi pour la conduire sur place. La plaignante explique qu’à son arrivée, trois autres femmes étaient présentes. Je me souviens que sa façon de parler était assez directe et crue » À un moment de la soirée, Mendy lui a envoyé des messages pour lui demander de descendre. Trouvant cela étrange », elle dit être tout de même venue. On a fini par s’embrasser et il a baissé son pantalon, raconte-t-elle. Je lui ai dit je ne fais rien’. Il a répondu que veux-tu dire?’ Je me souviens que sa façon de parler était assez directe et crue. Il était du genre tu ne me fais pas confiance’. » La plaignante a ensuite expliqué qu’elle n’avait effectivement pas confiance car elle avait rencontré Mendy pour la première fois seulement trois jours plus tôt. Selon la victime présumée, l’ancien joueur de l’OM et de l’AS Monaco utilisait des mots particulièrement directs. Il était là du genre toutes ces femmes veulent baiser avec moi’. Je crois qu’il me disait des choses pour me convaincre de faire des trucs avec lui », ajoute la plaignante. Elle dit avoir répondu Je ne veux pas faire quoi que ce soit de ce genre, je suis juste venue boire un verre. Pour essayer de le calmer, la plaignante dit avoir répliqué à Mendy qu’elle ne prenait pas la pilule. Rien ne le gênait », ajoute la plaignante. La plaignante assure qu’elle était sobre à ce moment-là et donc tout à fait consciente de la situation ». Elle aurait déclaré à Mendy Je ne te connais pas, je préfère d’abord apprendre à connaître quelqu’un. » Elle assure que Mendy lui a demandé une fellation, ce à quoi elle a répondu non ». Le joueur aurait répété sa demande plusieurs fois », en ajoutant que, si elle partait, personne ne lui adresserait la parole ». C’était comme parler à un mur » Je ne savais pas quoi faire à ce moment-là, j’avais donné toutes les excuses possibles pour me sortir de cette situation », ajoute la plaignante, notamment celle de devoir aller travailler. C’est comme si rien de ce que je disais ne lui faisait tilt, c’était comme parler à un mur, ajoute la plaignante. J’ai fini par être obligée de céder, il n’y avait rien d’autre que je puisse dire ou faire. » La victime présumée précise ensuite les circonstances du viol J’ai dû me mettre à quatre pattes. Il était derrière, avec sa main sur mon dos. J’ai dit non’. Il m’a répondu laisse moi’. » La plaignante confirme qu’ils ont fini par avoir une relation sexuelle ». Ce n’était pas long, dans les 20 secondes et c’était fini », ajoute-t-elle. La plaignante a précisé lui avoir dit plusieurs fois Je ne veux rien faire, je ne te veux pas. » Il aurait répondu c’est petit, ne t’inquiète pas ». La plaignante répète qu’elle n’était pas consentante Durant tout le temps que ça a duré, il savait que je ne voulais pas ça, appuie-t-elle lors de son audition. Il continuait à s’approcher et à insister, je ne pouvais plus rien faire d’autre. » A son retour à l’étage, la plaignante dit avoir déclaré à son amie que quelque chose s’était passé mais pas quelque chose que je voulais ». L’amie en question lui aurait répondu Deux gars l’ont empêchée de descendre et lui ont demandé de ne pas y aller. » La plaignante relancée sur la notion de consentement lors du contre-interrogatoire Durant les jours qui ont suivi le viol présumé, la plaignante confie s’être sentie sale », honteuse », précisant qu’elle ne voulait même pas se toucher sous la douche ». Elle assure avoir ensuite reçu plusieurs messages de Mendy lui demandant de venir le voir ». Alors que Mendy a été arrêté par la police, la plaignante raconte avoir reçu un message d’une de ses amies, lui demandant si elle avait parlé. La victime présumée lui a dit que non, qu’elle n’avait pas parlé à la police. La plaignante précise qu’elle était trop effrayée » pour aller porter plainte Je ne voulais pas penser à ce qu’il s’était passé. » Relancée sur la notion de consentement lors du contre-interrogatoire, la victime présumée a répété qu’elle n’avait jamais dit oui au footballeur. Monsieur Mendy ne vous a pas violée, si? », a interrogé l’avocate de Mendy. Il l’a fait », répond la plaignante. L’avocate insiste sur la notion de consentement, demandant notamment ce que la plaignante pensait faire en rejoignant Mendy en bas. La plaignante répète avoir été agressée sexuellement et n’avoir consenti à aucun moment. Source link Jai fini par être obligée céder témoignage dune nouvelle victime présumée viol
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