Leniveau moyen de l'Atlantique est plus haut que celui de la MĂ©diterranĂ©e d'environ 15 cm, selon les rĂ©sultats de mesures effectuĂ©es simultanĂ©ment par des gĂ©omĂštres-experts sur une quarantaine de points du littoral français en 2016, rendus publics jeudi. L'ordre des gĂ©omĂštres-experts (OGE) avait mesurĂ© en mai 2016 le niveau de la Codycross est un jeu mobile dont l'objectif est de trouver tous les mots d'une grille. Pour cela, vous ne disposez que des dĂ©finitions de chaque mot. Certaines lettres peuvent parfois ĂȘtre prĂ©sentes pour le mot Ă  deviner. Sur Astuces-Jeux, nous vous proposons de dĂ©couvrir la solution complĂšte de Codycross. Voici le mot Ă  trouver pour la dĂ©finition "DĂ©troit reliant la MĂ©diterranĂ©e Ă  l'Atlantique" groupe 476 – grille n°1 gibraltar Une fois ce nouveau mot devinĂ©, vous pouvez retrouver la solution des autres mots se trouvant dans la mĂȘme grille en cliquant ici. Sinon, vous pouvez vous rendre sur la page sommaire de Codycross pour retrouver la solution complĂšte du jeu. 👍

DetroitReliant La Mediterranee A L Atlantique Petit Requin De L'atlantique Et De La Méditerranée La Mediterranee Pres De L'atlantique Bande De Terre Entre Deux Terre Reunissant Deux Mers Entre Deux Terre Reunissant Deux Mers Groupe De Personnes Reunissant Le

EspĂšce cosmopolite ClĂ© d'identification Dauphin de 3 Ă  4,5 mCouleur grise Ă  presque blanche en raison de multiples cicatrices et balafres clairesNageoire dorsale foncĂ©e et falciforme, de prĂšs de 50 cm de hautTĂȘte arrondie sans rostreCannelure entre le front et la lĂšvre avec des yeux bien ronds et trĂšs foncĂ©s Noms Autres noms communs français Dauphin gris, grampus, grampus gris Noms communs internationaux Risso's dolphin, grey dolphin, white-headed grampus, white-head dolphin, grey grampus GB, Grampo, delfino di Risso I, Delfin de Risso, fabo calderĂłn, calderĂłn gris, delfin chato E, Rundkopfdelphin, Rissodelphin D, Grampo, golfinho-de-risso P, Gramper, grijze dolfijn NL, Rissos delfin, grĂ„ delfin SuĂšde, Seryy del'fin Russie, Hana gondo kujira Japon Synonymes du nom scientifique actuel Delphinus griseus G. Cuvier, 1812Delphinus rissoanus Desmarest, 1822Grampus rissoanus Desmarest, 1822Grampus stearnsii Dall, 1873 Distribution gĂ©ographique EspĂšce cosmopolite Zones DORIS ● Europe cĂŽtes françaises, ○ [MĂ©diterranĂ©e française], ○ [Atlantique Nord-Est, Manche et mer du Nord françaises], ● Atlantique Nord-Ouest, ● Indo-Pacifique, ○ [Mer Rouge], ● CaraĂŻbes On trouve gĂ©nĂ©ralement Grampus griseus dans les eaux tempĂ©rĂ©es, froides Ă  tropicales du monde limite nord de son aire de rĂ©partition dans l'Atlantique serait reprĂ©sentĂ©e par les Ăźles Shetland Royaume-Uni et Terre-Neuve Canada et pour le Pacifique par le golfe de l'Alaska. Au sud, l'espĂšce se rencontre jusqu'aux cap Horn et cap de Bonne-EspĂ©rance ainsi qu'en Australie et en MĂ©diterranĂ©e, le dauphin de Risso est surtout concentrĂ© dans la partie octobre 2013 et pour la premiĂšre fois, 5 individus ont Ă©tĂ© observĂ©s Ă  La RĂ©union au large de Ste-Suzanne. Biotope C'est un dauphin de haute mer, s'approchant parfois des cĂŽtes, qui frĂ©quente le talus continental, l'aplomb des tombants, des canyons sous-marins et les fonds allant jusqu'Ă  1000 mĂštres de profondeur. Description D' 1,50 m Ă  la naissance, la taille du dauphin de Risso varie entre 3 et 4,5 m Ă l'Ăąge adulte. Il peut alors peser jusqu'Ă  500 un animal effilĂ© Ă  l'arriĂšre et plutĂŽt robuste Ă  l'avant. Il possĂšde une tĂȘte presque carrĂ©e avec un melon* bien marquĂ©, qui prĂ©cĂšde une large poitrine. On remarque un pli ou une cannelure joignant le front Ă  la lĂšvre supĂ©rieure, caractĂ©ristique de l'espĂšce. Le dauphin de Risso ne possĂšde pas de rostre* sur le museau mais un bec, peu Ă©vent* simple est visible sur le dessus du griseus ne possĂšde pas de dents sur la mĂąchoire supĂ©rieure mais trois Ă  sept paires de dents six Ă  quatorze dents tapissent le bout de la mĂąchoire couleur du grampus change tout au long de sa vie gris pĂąle Ă©tant jeune avec, chez les sujets nouveaux-nĂ©s, de lĂ©gĂšres traces blanches dĂ»es aux plis de sa position fƓtale puis plus sombre, le corps des individus devient blanc au fil du changement de couleur est dĂ» aux multiples cicatrices et scarifications zĂšbrant leur corps, s'accumulant au fil du temps et rĂ©sultant des interactions entre yeux bien ronds et trĂšs foncĂ©s peuvent alors se distinguer sur la masse palettes natatoires nageoires pectorales des cĂ©tacĂ©s, en forme de croissant, gardent quant Ă  elles une couleur nageoire dorsale de ce dauphin est trĂšs particuliĂšre falciforme, pointue Ă  son extrĂ©mitĂ©, elle est fine et, proportionnellement Ă  la longueur du corps, c'est la plus longue dorsale de tous les cĂ©tacĂ©s, Elle est plus foncĂ©e que le reste du corps et est situĂ©e au milieu du dos de l' nageoire caudale, sombre Ă©galement, possĂšde des bouts pointus, fuyant vers l'arriĂšre, et une Ă©chancrure centrale bien marquĂ©e. EspĂšces ressemblantes La diffĂ©renciation entre les dauphins de Risso et les grands dauphins corpulences similaires et formes de dorsales proches se fait aisĂ©ment car ces derniers sont munis d'un rostre bien dĂ©marquĂ© et ne montrent pas les entrelacs de cicatrices assez typiques de Grampus globicĂ©phales Globicephala melas et Globicephala macrorhynchus ont Ă©galement, comme Grampus griseus, une tĂȘte sans rostre, avec un melon prononcĂ©. Ils pourraient donc ĂȘtre source de confusions avec les dauphins de Risso, notamment les plus jeunes Ă  cause de la couleur sombre, car non griffĂ©e de clair, de ces derniers. Mais la forme de la nageoire dorsale n'est pas du tout la mĂȘme et elle tombe vers l'arriĂšre chez les globicĂ©phales. En plus de la forme de cette dorsale, la couleur en diffĂšre chez les individus adultes des deux espĂšces noire pour l'une et zĂ©brĂ©e de blanc pour l' les faits, d'autres espĂšces de cĂ©tacĂ©s encore peuvent engendrer des confusions avec le jeune grampus, Ă  cause de sa couleur sombre pĂ©ponocĂ©phale, pseudo-orque ou orque pygmĂ©e, par exemple. Ceci dit, les concurrents Ă  l'identification sont en gĂ©nĂ©ral plus foncĂ©s et les jeunes dauphins de Risso se trouvent habituellement Ă  proximitĂ© des adultes de leur espĂšce qui eux, rendent l'identification plus pourrait Ă©ventuellement confondre le dauphin de Risso ĂągĂ© avec le bĂ©louga Delphinapterus leucas, Ă  cause de la couleur presque blanche. Mais les bĂ©lougas, qui n'ont pas de rostre non plus, n'ont pas la nageoire dorsale aussi haute que chez le grampus. De plus, ils n'Ă©voluent pas dans les mĂȘmes eaux tempĂ©rĂ©es et se trouvent souvent plus au loin, la haute nageoire dorsale du dauphin de Risso pourrait Ă©ventuellement ĂȘtre confondue avec celle de l'orque Orcinus orca mĂąle. Alimentation La plupart du temps le grampus se caractĂ©rise comme espĂšce teutophage, c'est-Ă -dire qu'il se nourrit quasi-exclusivement de cĂ©phalopodes et notamment de calmars. Il peut aussi se nourrir de petits palais de l'animal est bordĂ© de protubĂ©rances de la gencive qui semblent agir comme des fausses dents. Sa dentition exclusivement rĂ©partie sur la mĂąchoire infĂ©rieure et c'est la seule espĂšce de sa famille en ce cas, est cohĂ©rente avec son rĂ©gime chasse est gĂ©nĂ©ralement nocturne mais cela peut varier et sa technique de chasse fait un usage intensif de son systĂšme d'Ă©cholocation*. Le dauphin de Risso peut sonder jusqu'Ă  30 minutes pour chasser. Reproduction - Multiplication Chez ce dauphin, la maturitĂ© sexuelle est atteinte entre 10 et 13 ans et ce, pour les deux petit tous les 2 Ă  4 ans avec une pĂ©riode de gestation chez la femelle de 13 Ă  14 pĂ©riode de mise bas est assez incertaine, on la suppose assez flexible. Des nouveaux-nĂ©s ont Ă©tĂ© observĂ©s en MĂ©diterranĂ©e aussi bien en mai qu'en couleur du jeune Grampus griseus est d'un gris olivĂątre Ă  brun pĂąle presque uniforme avec une partie plus sombre s'Ă©tendant de la nuque Ă  la base de la caudale. Il ne montre donc pas encore de scarifications blanches. Vie associĂ©e On peut rencontrer quelques fois le dauphin de Risso en compagnie d'autres espĂšces de dauphins Tursiops truncatus, Stenella coeruleoalba, Delphinus delphis
La raison exacte de ce fait, courant au demeurant, du mĂ©lange des espĂšces durant certaines activitĂ©s reste encore Ă  dĂ©terminer. Divers biologie Les cicatrices blanches que l'on retrouve sur le dauphin de Risso sont dues au fait que la couche supĂ©rieure de son Ă©piderme ne se renouvelle pas. Lorsqu'elle est Ă©corchĂ©e, elle laisse apparaĂźtre une sous-couche blanche dĂ©finitive. Ces balafres et scarifications peuvent ĂȘtre le rĂ©sultat d'interactions conflictuelles ou de jeux entre individus mais aussi et surtout elles sont la preuve d'une Ă©troite relation entre ces mĂȘmes individus. Le dauphin de Risso est un animal sociable qui ne s'empĂȘche pas de mordre ses congĂ©nĂšres en "preuves d'affection".Les cicatrices sont Ă©galement trĂšs utiles aux cĂ©tologues car elles peuvent leur permettre de reconnaĂźtre les individus entre eux lors de campagnes d'identification en mer. Elles simplifient la crĂ©ation de bases de donnĂ©es Ă©laborĂ©es grĂące Ă  la dauphin de Risso adopte souvent des postures bien particuliĂšres. Par exemple le corps vertical et la tĂȘte sortie de l'eau durant plusieurs secondes. On appelle cette posture, le "spywatching" ou "spy-hopping".On le retrouve Ă©galement vertical avec la nageoire caudale en l'air "lobtailing".Les sauts sont plus rares et souvent avortĂ©s. Relativement peu de sauts Ă©mergeant le corps en griseus nage de maniĂšre lente et calme, la tĂȘte et le corps n'Ă©mergeant que partiellement, la grande nageoire dorsale suivant le mouvement. Il est considĂ©rĂ© nĂ©anmoins comme remarquablement agile. Parfois, la nageoire caudale est visible lorsqu'il saute, qu'il sonde ou encore lors de comportements vitesse maximale de ce cĂ©tacĂ© est d'environ 25-30 km/h 7-8 km/h en vitesse de croisiĂšre, les pointes de vitesse Ă  30 km/h Ă©tant rares.Son souffle est plutĂŽt court et assez difficilement observable depuis la surface. Informations complĂ©mentaires Le dauphin de Risso se regroupe parfois en bancs d'une dizaine d'individus mais ces groupes peuvent, en se rĂ©unissant entre eux, atteindre des tailles beaucoup plus consĂ©quentes parfois plusieurs centaines, provisoirement.Lorsqu'ils chassent en groupe, les dauphins de Risso se tiennent souvent en ligne et se mĂȘlent parfois Ă  des groupes d'autres espĂšces, notamment le dauphin commun mais aussi grands dauphins, dauphins bleus et blancs, globicĂ©phales, marsouins de Dall, lagĂ©norhynques Ă  flancs blancs du Pacifique, dauphins tachetĂ©s, faux orques, orque pygmĂ©e et mĂȘme cachalots et baleines ! L'interaction avec de grands mammifĂšres ne semble pas leur faire peur, au contraire !A l'intĂ©rieur d'un groupe de Grampus griseus, quelle que soit la taille du groupe, il est possible qu'il y ait une organisation sociale particuliĂšre. Par exemple, des Ă©chouages massifs ont conduit par leur Ă©tude Ă  penser que des sous-groupes comprenant des dauphins de mĂȘme Ăąge et de mĂȘme sexe se formaient, Ă  l'intĂ©rieur mĂȘme du dauphins de Risso ne sont pas migrateurs mais leur comportement Ă©voque un peu le nomadisme. C'est-Ă -dire qu'ils se retrouvent aux mĂȘmes endroits, avec une pĂ©riodicitĂ© de plusieurs mois et reviennent dans ces endroits avec population de Grampus griseus en MĂ©diterranĂ©e nord-occidentale est estimĂ©e Ă  3 000 individus environ mais il est difficile de donner une estimation de sa population au niveau espĂšces d'odontocĂštes de MĂ©diterranĂ©e sont atteintes par une Ă©pidĂ©mie virale de morbillivirus, en recrudescence ces derniĂšres annĂ©es et causant pneumopathies et troubles neurologiques. Si beaucoup de dauphins bleus et blancs Stenella coeruleoalba et des grands dauphins Tursiops truncatus semblent touchĂ©s et s'Ă©chouent ou meurent en mer, on ne sait pas encore si le dauphin de Risso y est rĂ©ellement Nouvelle-ZĂ©lande un individu baptisĂ© Pelorus-Jack escorta pendant 24 ans de 1888 Ă  1912 des bateaux Ă  travers le dĂ©troit de Cook. Ce grampus fut protĂ©gĂ© par une loi en 1904 aprĂšs avoir Ă©tĂ© l'objet d'une tentative d' estime que la longĂ©vitĂ© de Grampus griseus peut dĂ©passer 40 ans [Sidois 2008].Les principaux dangers liĂ©s Ă  l'homme auxquels le dauphin de Risso est arrive qu'au cours de campagnes de pĂȘche dans l'Atlantique Nord des dauphins de Risso soient accidentellement pĂȘchĂ©s. Par contre, ils font partie des espĂšces sciemment chassĂ©es au Japon pour la consommation !Comme la plupart des espĂšces de cĂ©tacĂ©s, notre dauphin de Risso est exposĂ© aux risques des sacs en plastique et des canettes mĂ©talliques qu'il ingĂšre. Nombre de ces articles ont Ă©tĂ© trouvĂ© dans les estomacs autopsiĂ©s de certains animaux Ă©chouĂ©s. En effet, Grampus griseus semble fortement apprĂ©cier le jeu avec des sacs en plastique qui font l'objet d'Ăąpres parties de "ballon" entre congĂ©nĂšres et il n'est pas Ă©tonnant que l'ingestion advienne, avec les consĂ©quences que l'on Risso pharmacien niçois et naturaliste a dĂ©crit ce dauphin en 1811 pour la premiĂšre fois d'aprĂšs un spĂ©cimen de Nice. Parce qu'il n'avait pas de dents en haut, comme les cachalots, il l'appela PhysetĂšre genre d'appartenance et autre nom commun des cachalots et il envoya une notice ainsi qu'un dessin Ă  Georges Cuvier. En 1812, Cuvier trouvera un spĂ©cimen Ă  Brest semblable Ă  celui dĂ©couvert un an plus tĂŽt par Risso et pourra en examiner le squelette. Cuvier va dĂ©crire cette espĂšce, la nommera Delphinus griseus mais en hommage Ă  son ami niçois, Cuvier lui donnera le nom vernaculaire de dauphin de ce sujet, il Ă©tait courant, aux XVIIIe-XIXe siĂšcles, que de simples membres de sociĂ©tĂ©s savantes, des Ă©rudits ne frĂ©quentant pas le cĂ©nacle scientifique parisien mais issus des acadĂ©mies de provinces pharmaciens, mĂ©decins de campagnes, avocats, etc. fassent preuve d'une Ă©rudition exemplaire en fixant pointilleusement observations et rĂ©flexions sur le spectacle de la nature, se rĂ©vĂ©lant souvent des naturalistes de premier plan. A cet Ă©gard, Cuvier tenant Risso pour un des meilleurs naturalistes de son temps aurait dit de celui-ci "Ah, si seulement il eĂ»t Ă©tĂ© parisien !". RĂ©glementation Etant donnĂ© que Grampus griseus fait partie de l'ordre des CĂ©tacĂ©s, cette espĂšce est soumise Ă  plusieurs rĂ©glementations, notamment - ACCOBAMS Accord sur la conservation des cĂ©tacĂ©s de la MĂ©diterranĂ©e, de la mer Noire, et de la Zone Atlantique Sanctuaire Pelagos 1999 Espace maritime de 87500 kmÂČ faisant l'objet d'un accord entre l'Italie, Monaco et la France pour la protection des mammifĂšres marins qui le Convention de Barcelone 1976 Protection de la MĂ©diterranĂ©e contre la pollution, assurer une protection particuliĂšre aux espĂšces et aux habitats menacĂ©s dont l'importance est jugĂ©e vitale pour la conservation de la Convention de Berne 1979 assurer la conservation de la flore et de la faune sauvages et de leurs habitats naturels et protĂ©ger les espĂšces migratrices menacĂ©es d' Convention de Bonn ou CMS 1979 Convention sur la conservation des espĂšces migratrices appartenant Ă  la faune Convention CITES ou de Washington figure dans l'annexe Liste rouge UICN Data Deficient, donnĂ©es insuffisantes.- RĂšglement du 20 janvier 1981 L'importation de produits issus de cĂ©tacĂ©s destinĂ©s Ă  des fins commerciales est interdite dans la CommunautĂ© ArrĂȘtĂ© du 20 octobre 1970 Il est interdit de dĂ©truire, de poursuivre ou de capturer par quelque procĂ©dĂ© que ce soit, mĂȘme sans intention de les tuer, les mammifĂšres marins de la famille des delphinidĂ©s dauphins et marsouins ».- ArrĂȘtĂ© du 27 juillet 1995 sont interdits sur tout le territoire national et en tout temps, la destruction, la mutilation de tous les cĂ©tacĂ©s et, qu'ils soient vivants ou morts, leur transport, leur colportage, leur utilisation, leur mise en vente, leur vente ou leur achat ». Origine des noms Origine du nom français Le dauphin de Risso doit son nom vernaculaire au pharmacien et naturaliste niçois du mĂȘme nom Antoine Risso 1777-1845, qui l'a fait connaĂźtre le premier avec exactitude. C'est Cuvier qui l'a nommĂ© ainsi en hommage Ă  Risso voir Ă  Informations complĂ©mentaires. Origine du nom scientifique Grampus du latin [crassus] = gros. Par l'altĂ©ration du latin crassus piscis qui signifie "gros poisson", Grampus vient de l'ancien français graspeis et/ou du mot normand graspois, passĂ© outre-manche d'oĂč le britannique Gray crĂ©a le genre Grampus en du latin [griseus] = gris. Le nom scientifique complet signifie donc "gros poisson gris". Classification NumĂ©ro d'entrĂ©e WoRMS 137098 Termes scientifiques Termes en français Descriptif Embranchement Chordata ChordĂ©s Animaux Ă  l’organisation complexe dĂ©finie par 3 caractĂšres originaux tube nerveux dorsal, chorde dorsale, et tube digestif ventral. Il existe 3 grands groupes de ChordĂ©s les Tuniciers, les CĂ©phalocordĂ©s et les VertĂ©brĂ©s. Sous-embranchement Vertebrata VertĂ©brĂ©s ChordĂ©s possĂ©dant une colonne vertĂ©brale et un crĂąne qui contient la partie antĂ©rieure du systĂšme nerveux. Classe Mammalia MammifĂšres VertĂ©brĂ©s possĂ©dant des poils et des glandes mammaires produisant du lait. Ordre Cetacea CĂ©tacĂ©s MammifĂšres aquatiques possĂ©dant des nageoires Ă  la place des pattes. Narines situĂ©es au sommet du crĂąne. Sous-ordre Odontoceti OdontocĂštes CĂ©tacĂ©s munis de dents fixĂ©es au rostre et Ă  la mandibule, et d’un melon prononcĂ© en avant du crĂąne. Un orifice unique, l’évent, au sommet du crĂąne. Famille Delphinidae DelphinidĂ©s Deux premiĂšres vertĂšbres cervicales soudĂ©es. Genre Grampus EspĂšce griseus Originairede l’Atlantique subtropical et tropical, il a Ă©tĂ© vu la premiĂšre fois en MĂ©diterranĂ©e sur l’üle de Lampedusa en 2002, ou encore au large du MusĂ©e ocĂ©anographique en 2015, Ă 
Le dĂ©troit de Gibraltar est la limite gĂ©ographique qui sĂ©pare l’ocĂ©an Atlantique, 2Ăšme plus grand ocĂ©an de la planĂšte derriĂšre l’ocĂ©an Pacifique, et la mer MĂ©diterranĂ©e, mer intercontinentale. Ce dĂ©troit est le seul passage maritime entre l’Atlantique et la MĂ©diterranĂ©e. A ce titre, il est un phare » pour notre association, au mĂȘme titre que Tarifa, pointe sud de l’Espagne dans le dĂ©troit et Ă©galement dĂ©part d’un grand chemin en mai 2015. L’appellation Gibraltar vient de l’arabe dĂ©formĂ© Djebel Tarik, Tarik Ă©tant le prĂ©nom du gĂ©nĂ©ral musulman Ű·Ű§Ű±Ù‚ ŰšÙ† ŰČÙŠŰ§ŰŻ = Tarik Ibn Ziyad qui franchit le dĂ©troit en l’an 711 pour conquĂ©rir la pĂ©ninsule ibĂ©rique. Gibraltar est Ă©galement le nom du petit territoire britannique 6,8 kmÂČ, 30000 habitants connu pour son rocher calcaire visible de loin 426 m d’altitude et occupĂ© par quelques 250 singes, des macaques berbĂšres protĂ©gĂ©s. C’est donc par dĂ©finition que la ligne A/M passe par ce dĂ©troit. Rappelons que nous avons choisi la convention plus prĂ©cise suivante la ligne A/M passe par le point le plus sud de l’Espagne, la punta de Tarifa, et le point le plus nord du Maroc, le Ras Qassarin. Cette convention n’influence le tracĂ© terrestre de la ligne A/M que sur quelques km, au nord comme au sud du dĂ©troit. La belle photo ci-dessus, rĂ©alisĂ©e depuis la navette amĂ©ricaine Endeavour, montre bien, outre le dĂ©troit de Gibraltar, les caps reprĂ©sentatifs des cĂŽtes espagnoles et marocaines, ainsi que quelques massifs de montagnes enneigĂ©es, notamment la Sierra Nevada qui culmine au MulhacĂ©n 3478 m, point le plus Ă©levĂ© de l’Espagne continentale et partage des eaux A/M. Le dĂ©troit de Gibraltar est une voie maritime internationale dĂ©limitĂ©e officiellement de la maniĂšre suivante > A l’est, la ligne de 24 km reliant la Punta de Europa rocher de Gibraltar, Royaume-Uni et la Punta Almina Ceuta, Espagne. > A l’ouest, par une ligne de 45 km reliant le Cabo de Trafalgar Barbate, AndalucĂ­a, Espagne et le Cap Spartel Tanger-TĂ©touan-Al Hoceima, Maroc. Entre ces 2 lignes, le dĂ©troit a une longueur de 59 km. Sa largeur minimale est de 14,4 km. Sa profondeur maximale est de -950 m. Le dĂ©troit de Gibraltar constitue la deuxiĂšme voie maritime la plus parcourue de la planĂšte aprĂšs la Manche. Entre 250 et 300 navires franchissent chaque jour le dĂ©troit ≈ 100 000 navires par an. D’oĂč l’instauration, pour des raisons de sĂ©curitĂ©, d’un dispositif de sĂ©paration du trafic. Contrairement aux routes britanniques, on navigue ici Ă  droite, avec un couloir de sĂ©paration, interdit au trafic longitudinal, d’une largeur de 0,5 mille 926 m. Pour terminer, notons que le systĂšme des courants dans le dĂ©troit de Gibraltar est complexe. Il dĂ©pend de la profondeur et de la position dans le dĂ©troit, de la salinitĂ© la MĂ©diterranĂ©e est toujours plus salĂ©e, de la tempĂ©rature, des marĂ©es et des vents. Globalement la MĂ©diterranĂ©e ayant un climat plus sec et donc une Ă©vaporation plus grande que l’Atlantique, bien loin d’ĂȘtre compensĂ©e par les apports de ses fleuves, c’est toujours l’Atlantique qui fournit de l’eau Ă  la MĂ©diterranĂ©e qui sinon s’abaisserait de 1 m par an pour un dĂ©bit de l’ordre d’un million de mÂł/s, soit environ 150 fois le dĂ©bit moyen du Danube
 Ça nous laisse rĂȘveur ! Cette belle vidĂ©o sur les courants marins le montre.
Solutionpour la résolution de "détroit réunissant l'atlantique à la méditerranée" Dictionnaire et définitions utilisés Définition et synonyme en 2 à 10 lettres Ajouter une définition GIBRALTAR 9 lettres Toponyme Gibraltar (Gibraltar ville) Détroit réunissant l'atlantique à la méditerranée RE 2 lettres ßle de l'Atlantique Sous mi
Carte mentaleÉlargissez votre recherche dans UniversalisOn rencontre, dĂšs l'AntiquitĂ©, le mot Atlantique » pour dĂ©signer le grand ocĂ©an qui se trouve Ă  l'ouest de l'Europe. Selon HĂ©rodote, ce nom lui viendrait du peuple des Atlantes, qui habitait le Maroc. La dĂ©nomination disparut au Moyen Âge. On lui prĂ©fĂ©ra alors celle de mer Occidentale » ou quelquefois de mer du Nord ». Mais le gĂ©ographe Mercator fit revivre le mot Atlantique » en le plaçant sur sa cĂ©lĂšbre mappemonde, en 1569, et ce terme se substitua dĂšs lors, peu Ă  peu, Ă  celui de mer OcĂ©ane » des vieux cartographes dans l'AntiquitĂ©Il est certain que les populations prĂ©historiques campĂšrent sur les rivages de l'Atlantique. Se risquĂšrent-elles sur leurs eaux Ă  bord de frĂȘles esquifs ? C'est possible, rien dans l'Ă©tat actuel de nos connaissances ne permet de l'affirmer. L'Atlantique, en effet, n'entre pas dans l'histoire avant l'an 600 avant HĂ©rodote raconte qu'Ă  cette Ă©poque le pharaon d'Égypte NĂ©chao II aurait accompli le pĂ©riple de l'Afrique. Parti de la mer Rouge, il aurait Ă©tĂ© de retour en MĂ©diterranĂ©e trois ans plus tard, aprĂšs avoir franchi les colonnes d'Hercule. Exploit remarquable, s'il Ă©tait confirmĂ©. Mais rien n'est venu, jusqu'Ă  prĂ©sent, corroborer le rĂ©cit d'HĂ©rodote. On est certain que les PhĂ©niciens, qui possĂ©daient au demeurant de meilleures embarcations que les Égyptiens, ont franchi le dĂ©troit de Gibraltar. En 465 avant notre Ăšre, Hannon, magistrat de Carthage, reçut l'ordre d'aller Ă©tablir des colonies au-delĂ  des colonnes d'Hercule. Il partit avec trente mille personnes, sur soixante navires. Il fonda ainsi, sur la cĂŽte actuelle du Maroc, les colonies de ThymĂ©atherion MehĂ©dia et Caricur Agadir ?. Poursuivant sa route vers le sud, il doubla le cap Vert et aurait atteint la rĂ©gion du Cameroun. Au retour, Hannon et ses compagnons visitĂšrent des Ăźles qu'ils nommĂšrent FortunĂ©es » Ă  cause de la richesse de leur vĂ©gĂ©tation ce sont les Canaries. Ils abordĂšrent aussi Ă  MadĂšre. On a dit que certains membres de l'expĂ©dition, sĂ©parĂ©s du gros par une tempĂȘte, auraient Ă©tĂ© poussĂ©s par les vents jusqu'en AmĂ©rique. Rien ne le confirme. Pendant qu'Hannon cinglait vers le sud, un de ses compagnons, Himilcon, se dirigeait vers le nord, explorait l'Ăźle d'Albion l'Angleterre, les CassitĂ©rides, ou Ăźles Ă  Ă©tain les Sorlingues, l'Ăźle SacrĂ©e l'Irlande. À dater de ces explorations, PhĂ©niciens, Carthaginois et Grecs nouent, par l'Atlantique, des relations commerciales avec les pays de la mer du Nord, de la Baltique et de la cĂŽte atlantique du Maroc. Vers 340 avant notre Ăšre, un Grec de Marseille, PythĂ©as, renouvelle l'exploit d'Himilcon, et se rend encore plus avant dans le Nord. Il atteint, en effet, l'Ăźle de ThulĂ©, oĂč la durĂ©e du jour Ă©tait de vingt-quatre heures. Il s'agit sans doute de l'Islande. Durant l'AntiquitĂ© classique et le haut Moyen Âge, il ne semble pas que les EuropĂ©ens aient dĂ©passĂ© les rĂ©gions atteintes par Hannon, Himilcon ou ixe siĂšcle de notre Ăšre, les routes de l'Atlantique, qui longeaient de prĂšs les cĂŽtes de l'Afrique septentrionale et de l'Europe, furent dominĂ©es par des MĂ©diterranĂ©ens Égyptiens, PhĂ©niciens, Grecs, Romains, 2 3 4 5 
pour nos abonnĂ©s, l’article se compose de 21 pagesAfficher les 12 mĂ©dias de l'articleÉcrit par doyen de la facultĂ© des lettres et sciences humaines de ToulouseClĂ©ment THIBAUD maĂźtre de confĂ©rences en histoire contemporaine Ă  l'universitĂ© de NantesClassificationÉconomie et gestionHistoire Ă©conomiqueHistoire du commerceÉconomie et gestionHistoire Ă©conomiqueHistoire Ă©conomique, xviie et gestionHistoire Ă©conomiqueHistoire Ă©conomique, xviiie de la gĂ©ographieExplorations et explorateursExplorations et explorateurs, AntiquitĂ©GĂ©ographieHistoire de la gĂ©ographieExplorations et explorateursExplorations et explorateurs, Moyen ÂgeGĂ©ographieHistoire de la gĂ©ographieExplorations et explorateursExplorations et explorateurs, du xve xviiie thĂ©matiqueHistoire culturelleHistoireHistoire thĂ©matiqueHistoire maritimeHistoire de l'ocĂ©an AtlantiqueHistoireHistoire chronologieHistoire des Temps modernes, du xve s. Ă  1789Europe, Temps modernesGrandes DĂ©couvertesHistoireHistoire chronologieHistoire, de 1789 Ă  la fin du xixe britannique, xixe rĂ©fĂ©rences ATLANTIQUE HISTOIRE DE L'OCÉAN » est Ă©galement traitĂ© dans ABOLITION INTERNATIONALE DE LA TRAITE ATLANTIQUEÉcrit par Jean BOULEGUE ‱ 191 mots ‱ 1 mĂ©dia La traite des Noirs par l'Atlantique a dĂ©butĂ© au xv e siĂšcle, Ă  destination de l'Europe, mais c'est aprĂšs la dĂ©couverte de l'AmĂ©rique qu'elle a pris son essor, pour fournir de la main-d'Ɠuvre aux plantations. Les estimations sur le nombre de personnes dĂ©portĂ©es d'Afrique en AmĂ©rique varient, pour la plupart, entre dix et vingt millions. Le xviii e siĂšcle fut la pire pĂ©riode, mais il vit aussi le [
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] C'est dire que l'Ă©conomie coloniale amĂ©ricaine vit au rythme des flottes et des convois de galions. C'est une gigantesque entreprise que la Carrera de las Indias del mar OcĂ©ano , et qui met en cause une multitude d'intĂ©rĂȘts, souvent mal accordĂ©s. Ceux de l'État et du fisc sont reprĂ©sentĂ©s par la Casa de la contrataci Ăłn . DerriĂšre le consulat des marchands de SĂ©ville, on devine plus d'une fois [
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] Lire la suiteBÉTHENCOURT JEAN DE 1360 par Jean FAVIER ‱ 210 mots Seigneur normand, chambellan de Charles VI, Jean de BĂ©thencourt organisa en 1402 une expĂ©dition pour conquĂ©rir les Ăźles Canaries ; il vendit ou hypothĂ©qua ses biens pour la financer et en partagea la responsabilitĂ© avec Gadifer de La Salle. Cette premiĂšre tentative fut un Ă©chec, et BĂ©thencourt dut recourir Ă  l'aide du roi de Castille Henri III, Ă  qui il prĂȘta hommage pour sa future conquĂȘte. Ayant [
] Lire la suiteCABOT LESÉcrit par Jean-Marcel CHAMPION ‱ 595 mots Navigateurs d'origine italienne. Jean Cabot 1450-1498, sur la vie duquel les renseignements prĂ©cis et incontestables sont rares, a attachĂ© son nom aux premiĂšres navigations anglaises dans l'Atlantique Nord en direction du continent amĂ©ricain. Peut-ĂȘtre nĂ© Ă  GĂȘnes, devenu citoyen de Venise, il se consacre au commerce maritime dans la mer MĂ©diterranĂ©e avant de s'installer Ă  Bristol, oĂč il pouvait [
] Lire la suiteCADIXÉcrit par Charles LESELBAUM ‱ 351 mots ‱ 1 mĂ©dia SituĂ©e dans la rĂ©gion autonome d'Andalousie, capitale de la province qui porte son nom, Cadix 128 554 hab. en 2007 est bĂątie sur un rocher reliĂ© au continent par une chaussĂ©e Ă©troite et au bord d'une baie ouvrant sur l'ocĂ©an Atlantique. CitĂ© phĂ©nicienne du nom de Gadir, elle passe sous la domination carthaginoise et romaine et s'appelle alors Gades, puis Julia Augusta Gaditana. Elle sera trĂšs ra [
] Lire la suiteCANADA - Histoire et politiqueÉcrit par Michel BRUNET, Alain NOËL ‱ 19 334 mots ‱ 11 mĂ©dias Dans le chapitre Premiers explorateurs » [
] Des Irlandais seraient venus en AmĂ©rique du Nord entre 540 et 983. Des Vikings, partis de NorvĂšge, s'Ă©taient installĂ©s au Groenland en 982 Ă  la suite d'Éric le Rouge. Un fils de celui-ci, Leif, fonda une colonie norvĂ©gienne en AmĂ©rique du Nord 1002. Il est encore impossible d'en fixer le lieu. L'archĂ©ologue Mallery soutient que les survivants de cette colonie se sont mĂȘlĂ©s aux Iroquois. Les Euro [
] Lire la suiteCAP-VERT CABO VERDEÉcrit par RenĂ© PELISSIER, Universalis ‱ 3 974 mots ‱ 3 mĂ©dias Dans le chapitre L'histoire coloniale » [
] La dĂ©couverte », soit par les navigateurs vĂ©nitien Alvise da CĂĄ da Mosto et gĂ©nois Antoniotto Usodimare en 1456, soit par le Portugais Diogo Gomes et le GĂ©nois Antonio de Noli en 1460, fait l'objet de dĂ©bats, mais il est Ă©galement possible que les Ăźles aient Ă©tĂ© antĂ©rieurement visitĂ©es par des Africains. L' archipel dĂ©sert est divisĂ© en capitĂąnias , concĂ©dĂ©es au Portugal qui les peuple avec qu [
] Lire la suiteCARTIER JACQUES 1491-1557Écrit par AndrĂ© VACHON ‱ 1 504 mots ‱ 1 mĂ©dia Le plus grand mĂ©rite de Jacques Cartier reste la dĂ©couverte du Saint-Laurent . Voie extraordinaire de pĂ©nĂ©tration, ce fleuve, dont on ne soupçonnait mĂȘme pas l'existence, ouvrait Ă  la France le cƓur d'un continent. C'Ă©tait probablement la dĂ©couverte la plus importante, en AmĂ©rique, depuis celle de Colomb. Elle rendait possible, en tout cas, la venue de Champlain et la fondation d'un royaume frança [
] Lire la suiteVoir aussiAFRIQUE NOIRE histoire prĂ©colonialeAFRIQUE NOIRE histoire pĂ©riode colonialeL'INVINCIBLE ARMADAASIENTOTRAVERSÉE DE L' ATLANTIQUEBATEAU À VAPEUREMPIRE BRITANNIQUE AmĂ©riqueCARAVELLE navireCOMMERCE histoireCOMMERCE TRIANGULAIREDÉCLARATION DE L'INDÉPENDANCE AMÉRICAINEESPAGNE histoire Moyen Âge du XIIIe au XVe COLONIAL ESPAGNOLÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE histoire des origines Ă  1865ÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE histoire de 1865 Ă  1945RÉGIME DE L' EXCLUSIFFLOTTE DE COMMERCEÎLES FORTUNÉESTRAITÉ DE GANDGRANDE-BRETAGNE histoire les Tudors 1485-1603Recevez les offres exclusives Universalis
Ily a 5,6 millions d'annĂ©es, la MĂ©diterranĂ©e Ă©tait quasiment rayĂ©e de la carte du monde. À cette lointaine Ă©poque, en effet, le dĂ©troit de Gibraltar, situĂ© Ă 
La solution Ă  ce puzzle est constituéÚ de 9 lettres et commence par la lettre G Les solutions ✅ pour DÉTROIT RÉUNISSANT L'ATLANTIQUE À LA MÉDITERRANÉE 9 LETTRES de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle Voici Les Solutions de Mots CroisĂ©s pour "DÉTROIT RÉUNISSANT L'ATLANTIQUE À LA MÉDITERRANÉE 9 LETTRES" 0 0 SuggĂ©rĂ© par les utilisateurs Utilisateur Solution Lettres Dominique Gibraltar 9 Partagez cette question et demandez de l'aide Ă  vos amis! Recommander une rĂ©ponse ? Connaissez-vous la rĂ©ponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! Similaires
LaMĂ©diterranĂ©e est bordĂ©e par 20, nations contiÂŹ nentales et pĂ©ninsulaires et deux Etats insulaires (Malte, Chypre). Elle est reliĂ©e a l'OcĂ©an Atlantique par le DĂ©troit de Gibraltar, Ă  la Mer Rouge par la voie d'eau artificielle du canal de Suez, et a la Mer Noire par le tryptique Dardannelles-Mer de Marmara-Bosphore. Rappel de la vision et des objectifs stratĂ©giques La stratĂ©gie de façade maritime MĂ©diterranĂ©e repose sur une vision Ă  2030 fondĂ©e sur une exigence celle de l’atteinte et du maintien du bon Ă©tat Ă©cologique et la prĂ©servation d’un littoral attractif ; un projet une Ă©conomie bleue durable et productive ; un levier une transition Ă©cologique pour la mer et le littoral effective. Les 53 objectifs environnementaux et les 62 objectifs sociaux-Ă©conomiques adoptĂ©s concilient, dans le souci d’une dĂ©marche intĂ©grĂ©e, le dĂ©veloppement Ă©conomique des activitĂ©s maritimes et le respect du milieu marin ex soutien Ă  la mise en place de zones de mouillages organisĂ©s et la mise en place de services auprĂšs des plaisanciers. Lien entre les actions existantes et les nouvelles Le lien entre les actions existantes et les actions nouvelles Ă©tait primordial pour assurer une cohĂ©rence et une continuitĂ© des politiques publiques. Ainsi, de novembre 2019 Ă  fĂ©vrier 2020, il a Ă©tĂ© procĂ©dĂ© Ă  l’analyse de la suffisance des mesures mises en Ɠuvre sur le volet environnemental, notamment au travers du Plan d’action pour le milieu marin. Par ailleurs, un recensement des actions socio-Ă©conomiques mises en Ɠuvre par les acteurs de la façade MĂ©diterranĂ©e a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©, notamment grĂące Ă  la participation des collectivitĂ©s rĂ©gionales cet exercice Ă©tait inĂ©dit Ă  cette Ă©chelle. Ce recensement et cette analyse de la suffisance des actions existantes ont Ă©tĂ© dĂ©terminants dans le processus d’élaboration des volets opĂ©rationnels des documents stratĂ©giques de façade. Ils ont permis de justifier le maintien ou non d’action en face d’un objectif stratĂ©gique il a parfois Ă©tĂ© considĂ©rĂ© que les actions existantes suffisaient pour atteindre un objectif dĂ©fini et de rĂ©flĂ©chir Ă  de nouvelles actions. Ce travail est une garantie du caractĂšre opĂ©rationnel et rationnel du plan d’action, dĂšs lors que chacune de ces actions est vĂ©cue comme une nĂ©cessitĂ©. Aujourd’hui, chacune des actions du document comprend des Ă©lĂ©ments de contextualisation permettant d’expliciter prĂ©cisĂ©ment ce lien entre actions existantes et nouvelles. Les thĂ©matiques » retenues Ă  l’échelle de la façade Six chapitres, six problĂ©matiques, six univers » diffĂ©rents oĂč agir Le plan d’action se dĂ©cline en six chapitres, six problĂ©matiques distinctes, cohĂ©rentes, qui se justifient par leur approche territoriale, au sein des zones de vocation dĂ©finies dans la stratĂ©gie de façade maritime. La diversitĂ© d’acteurs, d’univers, d’enjeux, les temporalitĂ©s et les modalitĂ©s d’actions sont si hĂ©tĂ©rogĂšnes que les rĂ©sumer leur fait perdre leur matiĂšre. Pour autant, la feuille de route, dĂ©crite ci-dessous, sans ĂȘtre exhaustive, permet une approche dynamique synthĂ©tique, qui traduit la mobilisation d’une façade entiĂšre sur une politique maritime intĂ©grĂ©e. Chapitre 1 – Littoral Il prĂ©sente les actions qui s’exerceront principalement dans les zones de vocation littorales, c’est-Ă -dire majoritairement situĂ©es dans la bande des 3 milles et lieux d’intense concentration d’activitĂ©s et d’enjeux majeurs. Les actions concernent Ă  la fois la gestion durable des activitĂ©s anthropiques cĂŽtiĂšres, la comprĂ©hension de leurs impacts cumulĂ©s et la rĂ©duction de leurs pressions. Elles s’attachent Ă©galement Ă  anticiper l’évolution structurelle des activitĂ©s anthropiques qui ont un lien direct avec les politiques publiques des territoires littoraux, notamment les Ă©nergies marines renouvelables pour l’autonomie Ă©nergĂ©tique, l’atteinte zĂ©ro artificialisation nette », mais aussi l’accessibilitĂ©, l’écotourisme et l’amĂ©lioration de la qualitĂ© de l’air. Introduction du plan d'action façade Document PDF Ko Document PDF Ko Document PDF Ko Document PDF Ko Document PDF Ko Document PDF Ko Document PDF Ko Chapitre 2 – Ressources halieutiques et aquaculture Les actions prĂ©sentĂ©es concernent d’une part la rĂ©duction des impacts de la pĂȘche professionnelle, de la pĂȘche rĂ©crĂ©ative et de l’aquaculture notamment par l’amĂ©lioration des connaissances des stocks, la sensibilisation et la formation, et une volontĂ© de rĂ©duction forte des captures accidentelles. La deuxiĂšme partie du chapitre rassemble les actions dĂ©diĂ©es Ă  un accompagnement fort de la filiĂšre, notamment en termes de recherche et d’innovation, mais aussi d’implantation Ă©conomique territoriale et de meilleure visibilitĂ© pour les populations locales. Document PDF Ko Document PDF Ko Document PDF Ko Document PDF Ko Document PDF Ko Chapitre 3 – Espaces et espĂšces emblĂ©matiques Ce chapitre se concentre notamment sur des espĂšces non commerciales particuliĂšrement vulnĂ©rables et qui reprĂ©sentent pour certaines de nouveaux enjeux du Document stratĂ©gique de façade par rapport au Plan d’action pour le milieu marin notamment, Ă©lasmobranches et tortues marines. Il se consacre Ă©galement Ă  mettre en valeur les actions innovantes que portera le DSF MĂ©diterranĂ©e sur les paysages littoraux et sous-marins, ainsi que le patrimoine archĂ©ologique. Chap_espece Document PDF Ko Chap_espece Document PDF Ko Chapitre 4 – Univers portuaire et industriel Les actions portent sur l’amĂ©lioration de la structuration des filiĂšres des industries navales et nautiques notamment dans leur lien avec les appels Ă  projets et Ă  manifestation d’intĂ©rĂȘt nationaux et europĂ©ens pour faire de la façade MĂ©diterranĂ©enne une vitrine de l’excellence et de l’innovation, en matiĂšre de numĂ©rique et d’écoconception. Les actions relatives aux ports sont majeures car elles garantiront la rĂ©duction Ă  termes des pollutions et nuisances par le dĂ©veloppement de l’électrification des navires et des gaz Ă  faible Ă©mission. Elles s’attacheront Ă©galement Ă  renforcer le lien du port avec le citoyen et la ville pour valoriser cet Ă©lĂ©ment structurant de l’urbanisation du littoral. Document PDF Ko Document PDF Ko Chapitre 5 – Éduquer, sensibiliser Les mĂ©tiers maritimes peuvent souffrir d’un manque d’attractivitĂ© et de visibilitĂ© les actions prĂ©sentĂ©es dans ce chapitre ont pour objet de monter une gouvernance de façade opĂ©rationnelle, de porter des actions de communication coordonnĂ©es et efficaces, de crĂ©er des passerelles entre les mĂ©tiers pour renforcer leur visibilitĂ© auprĂšs des jeunes. Une deuxiĂšme partie prĂ©sente les actions de sensibilisation et d’éducation Ă  l’environnement, pour tout Ăąge, que la MĂ©diterranĂ©e porte tout particuliĂšrement depuis le premier cycle du PAMM et qui visent Ă  gagner Ă©galement en coordination et efficacitĂ©, par des supports innovants et des partenariats particuliers. Document PDF Ko Chapitre 6 – DĂ©chets Ce chapitre rassemble les actions dĂ©diĂ©es Ă  la rĂ©duction des dĂ©chets, Ă  leur collecte et Ă  leur valorisation dans chacune des filiĂšres et des sources de production connues Ă  l’échelle de la façade et du bassin versant. C Document PDF Ko C Document PDF Ko Annexes Annexe_1_Tableau_de_synthese des actions_façade Document PDF Ko Annexe_2_Liste des actions_zones_1_a_15-2_façade Document PDF Ko Annexe_2_Liste des actions par zone_16_a_30-2_façade Document PDF Ko Annexe_3_derogations_façade Document PDF Ko Annexe_4_Glossaire du plan d'action_façade Document PDF Ko Annexe_5_Liste_des_acronymes du plan d'action_façade Document PDF Ko
\n \n\n detroit reunissant l atlantique a la mediterranee
Lambition principale du projet PASSAGE est de trouver des solutions transfrontaliĂšres pour rĂ©duire l’empreinte carbone et de stimuler les initiatives favorables Ă  la transition Ă©nergĂ©tique. Six dĂ©troits europĂ©ens sont impliquĂ©s dans le projet : DĂ©troit du Pas-de-Calais, DĂ©troit de Fehmarn, Canal de Corse, DĂ©troit d’Otrante La MĂ©diterranĂ©e est une vaste mer qui sĂ©pare l’Europe de l’Afrique. Elle s’étend de l’ocĂ©an Atlantique, Ă  l’ouest, Ă  l’Asie, Ă  l’est. Elle fut le berceau de nombreuses civilisations. GĂ©ographie La superficie de la mer MĂ©diterranĂ©e est de 2 500 000 kilomĂštres carrĂ©s environ. À l’ouest, un passage Ă©troit, le dĂ©troit de Gibraltar, la relie Ă  l’ocĂ©an Atlantique. Le dĂ©troit des Dardanelles, la mer de Marmara et le dĂ©troit du Bosphore relient la MĂ©diterranĂ©e Ă  la mer Noire au nord-est. Au sud-est, le canal de Suez relie la MĂ©diterranĂ©e Ă  la mer Rouge. Les plus grandes Ăźles de la MĂ©diterranĂ©e sont la Corse, la Sardaigne, la Sicile, la CrĂšte et Chypre. Les hivers sont doux et humides, les Ă©tĂ©s chauds et secs. Certaines parties de la MĂ©diterranĂ©e portent un autre nom. La mer ÉgĂ©e, par [...] Inscrivez-vous et accĂ©dez Ă  cet article dans son intĂ©gralitĂ© ...Pour aller plus loin Articles liĂ©sAsie MineureC'est en Asie Mineure que se rejoignent 2 continents l'Asie et l'Europe. On utilise parfois son nom grec, l'Anatolie. Autrefois, l'Asie Mineure Ă©tait le point de rencontre des personnes voyageant entre l'Europe et l... Lire l’articleCarthageL'antique citĂ© de Carthage fut fondĂ©e par les PhĂ©niciens sur la cĂŽte nord de l'Afrique, vers 800 av. Elle rĂ©gna sur le commerce de toute la MĂ©diterranĂ©e occidentale jusqu'en 146 av. date Ă  laquelle elle f... Lire l’articleChypreL'Ăźle de Chypre est depuis longtemps divisĂ©e entre ses populations grecque et turque. 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LePCF s'oppose toutefois Ă  ce que la France livre des armes en Ukraine : ce serait ajouter de « la guerre de la guerre », c'est-Ă -dire qu'au lieu de porter les efforts sur le champ diplomatique cela reviendrait Ă  donner les moyens de la poursuite du conflit. Or la solution au conflit n’est pas militaire, mais politique.

La MĂ©diterranĂ©e, la mer bleue par excellence, la grande mer’ des HĂ©breux, la mer’ des Grecs, le mare nostrum des Romains, bordĂ©e d’orangers, d’aloĂšs, de cactus, de pins maritimes, embaumĂ©e du parfum des myrtes, encadrĂ©e de rudes montagnes, saturĂ©e d’un air pur et transparent, mais incessamment travaillĂ©e par les feux de la terre, est un vĂ©ritable champ de bataille oĂč Neptune et Pluton se disputent encore l’empire du monde ». Jules Verne – Vingt mille lieues sous les mers, 1870. Deux des principales conclusions de notre rapport – Ambitions stratĂ©giques amĂ©ricaines, britanniques et russes en MĂ©diterranĂ©e1 – Ă©taient les suivantes le format euromed n’est plus adaptĂ© aux enjeux actuels, nĂ©cessitant l’adoption raisonnĂ©e d’un logiciel euroafricain susceptible de favoriser une coopĂ©ration tripartite Union europĂ©enne/Union africaine/Ligue arabe, appuyĂ©e par les Nations unies ; la pleine prise en compte de l’affirmation confirmĂ©e de deux nouvelles puissances mĂ©diterranĂ©ennes » la Russie et la Chine. Avec une Syrie dont la reconstruction se fera principalement avec l’aide de la Russie, de la Chine et de l’Iran ; avec la consolidation du port militaire russe de Tartous Syrie et l’installation d’une base maritime chinoise dans le mĂȘme complexe portuaire ; avec la circulation accrue de bĂątiments militaires russes et chinois dans toute la MĂ©diterranĂ©e, cette mer stratĂ©gique n’est plus le monopole des puissances occidentales. Les transits Ă©conomiques entre Suez et Gibraltar – sĂ©curisĂ©s par les Marines nationales française, britannique et amĂ©ricaine depuis la fin de la Seconde guerre mondiale -, doivent dĂ©sormais s’effectuer en prĂ©sence des marines hauturiĂšres russe et chinoise. L’éloignement progressif de la marine turque de l’OTAN et les derniers essais positifs de missiles de croisiĂšre par la marine algĂ©rienne viennent complĂ©ter notre constat la MĂ©diterranĂ©e n’est plus une mer occidentale ! Bien que notre annonce d’une prochaine rĂ©conciliation Erdogan/Bachar al-Assad sous l’égide de Vladimir Poutine rencontre encore quelques difficultĂ©s de terrain sur les diffĂ©rents théùtres de la guerre civilo-rĂ©gionale syrienne du 5 septembre dernier, le processus est lancĂ© et bien lancĂ©. Il constitue, d’ores et dĂ©jĂ , l’un des rouages de la nouvelle donne stratĂ©gique en cours une MĂ©diterranĂ©e orientale partagĂ©e, une MĂ©diterranĂ©e occidentale en crise durable ; un rĂŽle accru des villes portuaires. MEDITERRANEE ORIENTALE PARTAGEE Au cours des semaines qui ont prĂ©cĂ©dĂ© le dernier sommet de l’OTAN Ă  Varsovie 8 et 9 juillet derniers, Ankara a provoquĂ© la surprise gĂ©nĂ©rale en s’opposant Ă  une proposition amĂ©ricaine visant Ă  constituer une force navale de l’Alliance en mer Noire afin de rĂ©pondre aux nouveaux dispositifs de projection maritime russe Ă  partir du port de SĂ©bastopol. Pour Ankara, cette proposition constituait une violation flagrante des dispositions de la Convention de Montreux de 1936. Celle-ci reconnaĂźt Ă  la Turquie un contrĂŽle sur les dĂ©troits du Bosphore et des Dardanelles et rĂ©git les rĂšgles de navigation en mer Noire. Le texte limite Ă  21 jours la prĂ©sence de navires Ă©trangers dans la zone. En proposant aux pays riverains dont la Turquie, la Roumanie et la Bulgarie la formation de cette flotte intĂ©grĂ©e sous la banniĂšre de l’OTAN, Washington cherchait Ă  endiguer, sinon affaiblir le nouveau dispositif naval de Moscou dans cette mer transformĂ©e en lac russe », selon les propres termes du prĂ©sident turc. AprĂšs d’ñpres nĂ©gociations avec Moscou sur une prĂ©sence massive de sa flotte en mer Noire, le revirement d’Ankara a Ă©tĂ© relatĂ© en dĂ©tail par le journal turc HĂŒrriyet Daily News. Le quotidien relevait dĂ©jĂ  en juin dernier un rééquilibrage inĂ©dit de la politique Ă©trangĂšre turque sur fond de tensions grandissantes avec les Etats-Unis et de volontĂ© de normalisation avec la Russie. Le 3 septembre 2013, alors que Paris, Washington et Londres dĂ©claraient vouloir bombarder la Syrie – suite Ă  l’usage supposĂ© d’armes chimiques dans la Ghouta banlieue de Damas par l’armĂ©e gouvernementale syrienne le mois prĂ©cĂ©dent -, trois missiles anti-missile ont Ă©tĂ© tirĂ© Ă  partir de deux bases de l’OTAN en Italie. Ceux-ci ont Ă©tĂ© neutralisĂ©s Ă  partir d’une station radar russe de mer Noire et d’une frĂ©gate russe de premier rang croisant au large des cĂŽtes syriennes. Durant les mois qui suivirent, plusieurs unitĂ©s de pays membres de l’OTAN dont la France, se sont relayĂ©es en mer Noire en se conformant au dĂ©lai de 21 jours de prĂ©sence. Dans le mĂȘme temps, un sous-marin nuclĂ©aire d’attaque SNA russe Ă©tait repĂ©rĂ© au large de la rade de Toulon. La partie de cache-cache a durĂ© plusieurs semaines. Si les missions de bĂątiments russes sont dĂ©sormais monnaie courante le long des cĂŽtes syriennes, ainsi qu’entre Chypre et le Liban, des incursions russes sous-marines et de surface sont rĂ©guliĂšrement dĂ©tectĂ©es aussi en MĂ©diterranĂ©e occidentale entre les cĂŽtes italiennes, françaises et espagnoles. Les bĂątiments engagĂ©s ont la possibilitĂ© de se rĂ©approvisionner dans la base algĂ©rienne de Mers el-KĂ©bir pouvant ainsi se projeter au-delĂ  du dĂ©troit de Gibraltar. La marine algĂ©rienne reste essentiellement Ă©quipĂ©e de matĂ©riels russes. Au sortir de la mer Noire, le principal point d’appui russe demeure le port syrien de Tartous qui, au fil des ans, s’est transformĂ© en complexe inter-armĂ©es. DĂ©sormais, cette base abriterait jusqu’à 3 800 militaires russes. Le mĂȘme complexe portuaire s’apprĂȘte Ă  recevoir des unitĂ©s du gĂ©nie chinois. Dans les mois prochains, celles-ci sont chargĂ©es d’amĂ©nager une digue et une passe en eaux profondes, des postes de refueling » pour frĂ©gates lourdes et une base vie d’une capacitĂ© de deux milles hommes selon les mĂȘmes formats derniĂšrement mis en chantier Ă  Djibouti. Il y a un an et demi, deux frĂ©gates chinoises de premier rang et un ravitailleur ont franchi le canal de Suez et reliĂ©, durant plusieurs mois, diffĂ©rents ports de MĂ©diterranĂ©e orientale et occidentale avant de franchir le dĂ©troit de Gibraltar. A son retour, ce groupe naval a effectuĂ© un stop diplomatique en rade de Toulon, de mĂȘme qu’en Italie, en GrĂšce et en Turquie avant de reprendre la route de Suez pour rejoindre l’ocĂ©an Indien. Un dernier point cristallise les ambitions maritimes rĂ©gionales la dĂ©couverte et la mise en exploitation de plusieurs blocs d’hydrocarbures entre Chypre, l’Egypte, IsraĂ«l et le Liban. Si les trois premiers ont trouvĂ© un accord pour exploiter ces ressources prometteuses, les eaux libanaises sont, quant Ă  elles rĂ©guliĂšrement violĂ©es voire progressivement grignotĂ©es, une crise politique et institutionnelle rĂ©currente monopolisant les Ă©nergies du Pays du CĂšdre vers d’autres prioritĂ©s. MEDITERRANEE OCCIDENTALE EN CRISE DĂ©clenchĂ©e par Nicolas Sarkozy et David Cameron, puis relayĂ©e par l’OTAN Ă  partir d’une interprĂ©tation partielle et partiale de la rĂ©solution 1973 du Conseil de sĂ©curitĂ© des Nations unies, l’intervention militaire en Libye de mars 2011 a prĂ©cipitĂ© trois dynamiques de crise. Laissant place Ă  des groupes salafo-jihadistes et des factions mafieuses, la destruction des structures rĂ©galiennes libyennes a favorisĂ© la jonction et l’amplification d’une sĂ©rie d’Etats faillis allant de l’Atlantique Ă  la Corne de l’Afrique. Ce couloir de criminalitĂ©, qui traverse la bande sahĂ©lo-saharienne, a Ă©tĂ© mis Ă  profit par les cartels latinos de la cocaĂŻne colombiens, vĂ©nĂ©zuĂ©liens et brĂ©siliens qui disposent de tĂȘtes aĂ©roportuaires en Afrique de l’ouest, notamment en GuinĂ©e Conakry et en Sierra Leone. A partir de ces appuis cĂŽtiers, les flux de drogue remontent vers le nord pour aboutir au Maroc, en Tunisie et en Libye avant de traverser la MĂ©diterranĂ©e pour se rĂ©pandre dans l’ensemble des pays europĂ©ens. La menace terroriste a, elle-aussi Ă©tĂ© confortĂ©e et amplifiĂ©e par l’implosion de la Libye. MĂȘme s’il vient de subir d’irrĂ©versibles revers, Dae’ch a, ainsi pu s’installer Ă  500 kilomĂštres des cĂŽtes europĂ©ennes. Nombres d’autres groupes jihadistes soutenus par l’Arabie saoudite et le Qatar se sont multipliĂ©s, installant des camps d’accueil et de formation dans la Libye faillie », notamment dans le Fezzan au sud, le long d’une ligne reliant les villes de Sebbah Ă  GĂąt Ă  proximitĂ© de la frontiĂšre algĂ©rienne Ă  la hauteur de Djanet. De ces sanctuaires du sud libyen, les jihadistes peuvent irriguer l’ensemble des pays de la rĂ©gion, tout particuliĂšrement le Mali, le Niger et le Burkina-Faso, organisant aussi des filiĂšres Ă  destination du dĂ©sert du SinaĂŻ, de Syrie et d’Irak. Des jonctions opĂ©rationnelles avec Boko-Haram et les Shebab somaliens sont Ă  craindre. DĂ©sormais, l’hypothĂšse d’un Bataclan flottant », qui verrait un ou des jihadistes cibler des bateaux de croisiĂšre ou armer des embarcations en vue d’attaques-suicides – en haute mer ou dans des ports -, n’est plus Ă  exclure. Ces diffĂ©rentes menaces sont d’autant plus prĂ©occupantes qu’elles se diluent dans les flux croissants de rĂ©fugiĂ©s qui fuient les guerres d’Afghanistan, du Proche-Orient et d’Afrique, mais aussi des contextes Ă©conomiques oĂč la survie devient de plus en plus difficile. La MĂ©diterranĂ©e occidentale est, ainsi devenue le creuset de l’une des crises de migrations les plus importantes depuis la fin de la Seconde guerre mondiale. Et ce ne sont pas les opĂ©rations Triton et autres dispositifs Frontex2 qui peuvent apporter des rĂ©ponses pertinentes et durables Ă  cette crise qui devrait ĂȘtre traitĂ©e en amont par l’UE, mais aussi la Ligue arabe, l’Union africaine et les autres structures rĂ©gionales africaines. Hormis une progressive montĂ©e en puissance de la marine algĂ©rienne favorisĂ©e par Moscou, ces diffĂ©rentes crises structurelles qui affectent la MĂ©diterranĂ©e occidentale mobilisent d’importantes ressources budgĂ©taires et de nombreux moyens opĂ©rationnels au dĂ©triment des autres enjeux stratĂ©giques qui concernent la totalitĂ© de la masse d’eau allant du canal de Suez au dĂ©troit de Gibraltar. RÔLE ACCRU DES VILLES PORTUAIRES Face Ă  cette montĂ©e des pĂ©rils en MĂ©diterranĂ©e, plusieurs initiatives multilatĂ©rales se sont successivement cassĂ©es les dents
 Les deux les plus connues sont le Partenariat Euromed dit Processus de Barcelone 1995 et l’Union pour la MĂ©diterranĂ©e juillet 2008. Ces fabrications institutionnelles ont clairement Ă©tĂ© plombĂ©es par trois conflits politiques majeurs et rĂ©currents IsraĂ«l-Palestine depuis 1948 ; l’occupation du nord de Chypre par la Turquie 1974 et le Sahara occidental, revendiquĂ© Ă  la fois par le Maroc et la RĂ©publique arabe sahraouie dĂ©mocratique RASD, proclamĂ©e par le Front Polisario 1976. Ce dernier théùtre continue Ă  conditionner une relation bilatĂ©rale algĂ©ro-marocaine difficile, tout en empĂȘchant l’émergence de l’Union du Maghreb arabe UMA, serpent de mer improbable
 UltĂ©rieurement, plusieurs initiatives de la sociĂ©tĂ© civile ont vu le jour, comme la Fondation euro-mĂ©diterranĂ©enne Anna Lindh3 pour le dialogue des cultures. InstituĂ©e par l’UE et les pays du pourtour mĂ©diterranĂ©en, cette entitĂ© se concentre sur le rĂŽle primordial du dialogue interculturel afin de promouvoir une coexistence paisible dans la rĂ©gion. Le Processus de Barcelone a Ă©tabli la Fondation Anna Lindh en 2005 afin de soutenir des organisations et des individus travaillant Ă  la promotion du dialogue, avec l’objectif politique de faire de la rĂ©gion Euro-MĂ©diterranĂ©enne une aire de coopĂ©ration, d’échange, de mobilitĂ©, de comprĂ©hension mutuelle et de paix »  Mais lĂ  encore, ces diffĂ©rentes initiatives n’ont pas suffi Ă  peser significativement, sinon Ă  transformer les diffĂ©rents conflits continuant Ă  menacer la paix et la stabilitĂ© en MĂ©diterranĂ©e. ParallĂšlement, un troisiĂšme type d’initiatives tentait de relancer des efforts de nĂ©gociations diplomatiques par le bas », c’est-Ă -dire en partant des collectivitĂ©s territoriales et locales rĂ©gions et villes portuaires. Marseille, Barcelone, Tunis, AthĂšnes et Beyrouth ont lancĂ© de multiples programmes dont certains perdurent aujourd’hui. Sur ce terrain, la PrincipautĂ© de Monaco peut se fĂ©liciter d’une rĂ©elle antĂ©rioritĂ©. MONACO EN PREMIERE LIGNE A la charniĂšre des XIXĂšme et XXĂšme siĂšcles, le prince Albert 1er a voulu prolonger son activitĂ© scientifique et environnementale par une action politique en faveur de la paix. Cette volontĂ© de faire de Monaco un pĂŽle de rayonnement d’une Pax mediterrana s’est concrĂ©tisĂ©e par la crĂ©ation de l’Institut international de la paix en 1903. Les nĂ©gociations sur la question marocaine en 1905 marquent l’apogĂ©e de son rĂŽle de mĂ©diation entre la France et l’Allemagne. AprĂšs la PremiĂšre Guerre mondiale, Albert Ier se voit refuser l’entrĂ©e de son pays dans la SociĂ©tĂ© des Nations SDN. Il rĂ©pond alors dans le domaine de la coopĂ©ration scientifique, par la mise en place de la Commission de la MĂ©diterranĂ©e, Monaco participant aussi Ă  l’ensemble des structures mĂ©diterranĂ©ennes. DerniĂšrement la PrincipautĂ© a participĂ© Ă  la 10Ăšme session plĂ©niĂšre de l’AssemblĂ©e parlementaire de la MĂ©diterranĂ©e APM rĂ©unissant Ă  Tirana Albanie les reprĂ©sentants des 25 pays membres ainsi que des hauts fonctionnaires des Nations unies, de l’OSCE et de la Banque europĂ©enne d’investissement BEI. Principaux dossiers abordĂ©s paix et sĂ©curitĂ© aux Proche et Moyen-Orient, lutte contre le terrorisme, crise des rĂ©fugiĂ©s, changement climatique, dialogue interculturel et religieux. Nathalie Amoratti-Blanc – vice-prĂ©sidente de la 1Ăšre commission sur la coopĂ©ration politique rĂ©gionale et les questions de sĂ©curitĂ© – est intervenue sur la crise migratoire en 2015, plus d’un million de migrants sont arrivĂ©s en Europe. Nous avons besoin d’une plus grande cohĂ©rence et d’une vĂ©ritable solidaritĂ© dans la gestion de ce phĂ©nomĂšne, car il ne s’agit pas d’une crise passagĂšre. Il est indispensable de trouver des solutions Ă  long terme 
. Nous avons la responsabilitĂ© de comprendre la complexitĂ© de ce phĂ©nomĂšne et de fabriquer des nouveaux Ă©quilibres, autant de rĂ©ponses Ă  l’extrĂȘmisme et au populisme ». L’APM a Ă©tĂ© créée en 2005 lors de la 4Ăšme ConfĂ©rence sur la sĂ©curitĂ© et la coopĂ©ration en MĂ©diterranĂ©e nĂ©e de la transformation de ce processus » lancĂ© depuis une quinzaine d’annĂ©es par l’Union Interparlementaire UIP pour faciliter le dialogue entre parlementaires mĂ©diterranĂ©ens. Plaçant les parlements de tous les pays du bassin mĂ©diterranĂ©en sur un pied d’égalitĂ©;, l’APM se saisit des questions d’intĂ©rĂȘt commun pour favoriser et renforcer la confiance entre Etats de la MĂ©diterranĂ©e, dans le but d’assurer la sĂ©curitĂ© et la stabilitĂ© rĂ©gionales et de promouvoir la paix. Elle se rĂ©unit en session ordinaire une fois par an et ses travaux sont prĂ©parĂ©s par les Commissions permanentes qui sont au nombre de trois 1 la Commission permanente sur la coopĂ©ration politique et en matiĂšre de sĂ©curitĂ© ; 2 la Commission permanente sur la coopĂ©ration Ă©conomique, sociale et environnementale ; 3 la Commission permanente sur le dialogue des civilisations et les droits de l’homme. COOPERATIONS RENFORCEES POUR UN LABORATOIRE MEDITERRANEEN » Partant du constat que la MĂ©diterranĂ©e n’est plus une mer occidentale », il s’agit aujourd’hui de conjuguer l’esprit de Monaco dans trois perspectives principales. La premiĂšre concerne d’abord les Marines nationales française et britannique qui ont dĂ©jĂ  entrepris les ajustements nĂ©cessaires face aux nouvelles implantations portuaires en MĂ©diterranĂ©e de la Russie et de la Chine. Pour ĂȘtre efficaces et durables, ces derniers devraient chercher aussi Ă  dĂ©velopper des coopĂ©rations communes en matiĂšre de contre-terrorisme et de lutte contre les flux criminogĂšnes migrations illicites, trafics d’armes, de drogues et d’ĂȘtres humains, sinon Ɠuvrer Ă  un nouveau systĂšme de sĂ©curitĂ© collective pour la MĂ©diterranĂ©e. Clairement politique, cette volontĂ© n’ira pas sans une remise Ă  plat des orientations diplomatiques de confrontation sanctions Ă©conomiques, redĂ©ploiements militaires en Pologne et dans les Pays baltes notamment, mises en Ɠuvre Ă  l’encontre de Moscou. Malheureusement, les conclusions du dernier sommet de l’OTAN Ă  Varsovie en juillet dernier – dont la poursuite du programme de bouclier anti-missile – ne vont pas dans ce sens ! Par consĂ©quent, la deuxiĂšme perspective porte sur l’effort de refondation d’une diplomatie adaptĂ©e aux enjeux mĂ©diterranĂ©ens immĂ©diats Ă  partir desquels peuvent s’envisager des convergences locales durables. Celles-ci pourraient servir de laboratoire Ă  des mĂ©canismes de gestion de crises applicables Ă  des formats gĂ©opolitiques plus large en Afrique sub-saharienne, en Arctique, en Asie-Pacifique, en Asie centrale et en AmĂ©rique latine. La mise en place d’un tel laboratoire mĂ©diterranĂ©en » est une grande ambition qui nĂ©cessite des dirigeants Ă  la hauteur. Nous verrons, Ă  l’issue des Ă©lections prĂ©sidentielles amĂ©ricaine et française notamment, mais cette perspective devrait – d’ores et dĂ©jĂ  – inspirer les candidats. En attendant, une troisiĂšme perspective concerne la mise en place de coopĂ©rations renforcĂ©es » Ă  l’image de ce que l’UE a Ă©tĂ© incapable de faire, Ă  savoir des programmes Ă  la carte, selon l’intĂ©rĂȘt des Etats riverains dĂ©cidant de participer ou non. Si les Etats demeurent indispensables Ă  cet organon, les capacitĂ©s diplomatiques des villes portuaires s’avĂšrent, d’ores et dĂ©jĂ , des outils complĂ©mentaires appropriĂ©s aux nouveaux enjeux stratĂ©giques, Ă©conomiques et sĂ©curitaires auxquels sont dĂ©sormais confrontĂ©es l’ensemble des populations mĂ©diterranĂ©ennes. En la matiĂšre, il n’est pas acquis que les grandes puissances puissent constituer l’élĂ©ment moteur d’une telle avancĂ©e. De petit acteurs tels que la PrincipautĂ© de Monaco, seraient sans doute mieux Ă  mĂȘme de mettre en Ɠuvre la concrĂ©tisation d’un tel laboratoire mĂ©diterranĂ©en. L’esprit de Monaco, dont nous avons rappelĂ© l’antĂ©rioritĂ© historique, pourrait favoriser, voire porter une telle ambition

EtienneBourgois a vĂ©cu sa dĂ©cisive rencontre en 2003, l'annĂ©e de ses 43 ans. La scĂšne a lieu dans la baie de Narragansett, Ă  Rhode Island (Etats-Unis). Ce jour-lĂ , Ă©ducatif Histoire gĂ©ographie DĂ©troit de Gibraltar Le dĂ©troit de Gibraltar permet Ă  la Mer MĂ©diterranĂ©e et Ă  l’OcĂ©an Atlantique de communiquer et il s’agit en rĂ©alitĂ© d’une ouverture qui permet aux eaux provenant de l’ocĂ©an et de la mer de venir combler le solde nĂ©gatif de la MĂ©diterranĂ©e en le remplissant et en crĂ©ant un passage maritime. L’ocĂ©an Atlantique comme ses congĂ©nĂšres est sujet Ă  des marĂ©es imposantes alors que la mer MĂ©diterranĂ©e comme la plupart des mers ne subit que des marĂ©es d’une faible de la mer MĂ©diterranĂ©e est trĂšs peu sujette aux marĂ©es et cela est du au fait de la faible distance et de la petite quantitĂ© d’eau par rapport aux marĂ©e stoppe Ă  l’entrĂ©e du dĂ©troit de Gibraltar car l’étroitesse de ce dernier gĂȘne et empĂȘche l’onde de marĂ©e de passer. Question de sullivan RĂ©ponse de Mod-Steph - Mis Ă  jour 30/12/2008 Les 5 questions prĂ©cĂ©dentes Explic utilise des cookies sur son site. En poursuivant votre navigation sur vous en acceptez l'utilisation. En savoir plus 5Oru.
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